Le vieux qui lisait des romans d'amour - Luis Sepúlveda (1989) - Dans quelle mesure cette oeuvre est-elle une oeuvre poétique ?

Thèmes abordés

Le vieux qui lisait des romans d'amour, Luis Sepulveda, Antonio José Bolivar, narrateur, Dolorès, métaphore, roman, ryhtme, style poétique, poème

Résumé du document

Le vieux qui lisait des romans d'amour est un roman écrit par Luis Sepulveda. Ce roman raconte la vie d'Antonio José Bolivar, qui vit en Amazonie. Le roman est souvent humoristique, notamment avec le personnage du dentiste. Le narrateur n'hésite pas à parler des dents arrachées et des dentiers de façon assez crue, et le dentiste est grossier avec ses patients ce qui provoque le rire ou le sourire.

Extraits

[...] De plus, il utilise une répétition : « Il savait lire » est répété trois fois, puis le verbe « lire » revient dans la dernière phrase. Le rythme de ce passage est travaillé comme celui d'un poème. Même si ce livre est un roman, cela ne l'empêche pas d'être très poétique. Luis Sepulveda joue beaucoup avec le rythme et construit souvent ses paragraphes comme des petits poèmes. Il joue sur les sons et les répétitions et le personnage lui-même aime la littérature, ce qui peut expliquer ce style très travaillé. [...]

[...] De plus, les descriptions aussi sont très métaphoriques. Par exemple, dès la première pasge du roman, la façon dont le ciel est décrit est complexe : « Le ciel était une panse d'âne gonflée qui pendait très bas ». Enfin Antonio aime la lecture, comme le titre l'indique, et il est sensible à la beauté de la littérature. Cela montre bien que le personnage est quelque peu poète. Il est attentif aux sonorités des mots : « Les gondoles. Le mot « gondole » avait fini par le séduire et il pensa que ce serait bien d'appeler ainsi sa pirogue. [...]

[...] Le vieux qui lisait des romans d'amour - Luis Sepúlveda (1989) - Dans quelle mesure cette oeuvre est-elle une oeuvre poétique ? Le vieux qui lisait des romans d'amour est un roman écrit par Luis Sepulveda. Ce roman raconte la vie d'Antonio José Bolivar, qui vit en Amazonie. Le roman est souvent humoristique, notamment avec le personnage du dentiste. Le narrateur n'hésite pas à parler des dents arrachées et des dentiers de façon assez crue, et le dentiste est grossier avec ses patients ce qui provoque le rire ou le sourire. [...]