Comportement organisationnel - publié le 06/05/2025

Thèmes abordés

Comportement organisationnel, altérité, mimétisme, émotion, cognition, perception, école néo-classique, rationalité, comportement, Descartes

Résumé du document

Toute organisation a besoin de produire, c'est sa vocation et elle ne peut pas exister sans. Le cours est une structure en soi. Ce qui est intéressant, ce sont les interactions, car elles permettent d'étudier le comportement organisationnel. On va avoir des prises de décision à partir de cette interaction. Descartes oppose l'intuition à la compréhension des codes, les faits et la compréhension des faits sont également opposés. Notre conception de l'objectivité, on la doit à Descartes. L'explication des faits par les causes est à l'origine de la rationalité et du rationalisme. On n'est pas objectif si on n'est pas doté de la rationalité.

Extraits

[...] Ces marqueurs se réactivent lorsqu'on se trouve dans une même situation qu'une autre fois. L'erreur fondamentale est de s'attribuer le mérite qu'on ait réussi ou pas. Attribution causale : attribuer des liens de causalité et les interpréter. Les gens interprètent, c'est un raccourci à la rationalité de Descartes, car pour ce dernier, la rationalité c'est la compréhension des causes. Là elles sont comprises de manière raccourcie et biaisée par des schémas mentaux. On reste dans l'approche où l'individu est social et sociable, et donc où il interagit. [...]

[...] La systémique peut faire le lien avec l'organisation. Elle intervient dans un système ouvert où les acteurs sont indépendants. Cette voix peut se traduire comme une voix comportementale. De la fonction vient la structure. Exemple : dans le cadre de ce cours, la finalité c'est l'examen, la note qu'on va obtenir. Pour une entreprise ou une organisation, la finalité est commune, car quand on y produit, on produit en équipe. Autre exemple : la réussite à l'examen, finalité commune des étudiants et du prof. [...]

[...] Comportement organisationnel I. Théories des organisations, historicité des théories et débat sur la rationalité Toute organisation a besoin de produire, c'est sa vocation et elle ne peut pas exister sans. Le cours est une structure en soi. Ce qui est intéressant c'est les interactions car elles permettent d'étudier le comportement organisationnel. On va avoir des prises de décision à partir de cette interaction. Descartes oppose l'intuition à la compréhension des codes, les faits et la compréhension des faits sont également opposés. [...]

[...] Homo economicus : comportement rationnel. Ça implique la prise de risque. L'école néoclassique a une théorie. Il y a une diversité de produits sur le marché. Y a cette question de choix qui intervient dans la théorie néoclassique. Les consommateurs ont une utilité qui doit tout le temps être maximisée. On se rend compte que, par rapport au pouvoir d'achat, y a la question du prix de la désirabilité qui arrive. La charge de travail pour créer un produit ou un service n'est pas représentative du prix. [...]

[...] Hiérarchie et discipline, la formalisation et surtout l'impersonnalité. On parle de l'impersonnalité car pour Weber un ouvrier est interchangeable. Pour Weber, la bureaucratie c'est un type idéal, c'est là où se reflète la signification culturelle d'une période de l'histoire. Pour lui, le type idéal c'est le moment de l'époque où la culture (normes) est au plus haut niveau de la rationalité. Le type idéal dépend de l'époque. Notre cuture a vocation à être rationnalisée. Pour Weber, quand les principes culturels cessent d'être en désorganisation constante, les pouvoirs de la bureaucratie commencent à se dissoudre. [...]