Olivier Salon, symbolisme, représentation, création, voyage
Ce document est une écriture d'invention oulipienne qui retrace l'itinéraire domicile-travail d'Olivier Salon à Grenoble. Le texte décrit à travers les déplacements d'Olivier ses traits physiques, moraux et psychologiques.
[...] Sa routine quotidienne se transforme en une aventure exaltante, à la recherche de la clé de sa survie. Ce récit revisité, selon les contraintes oulipiennes, évoque une réalité familière de manière créative, offrant une nouvelle perspective à une expérience quotidienne. Le vendredi soir, la semaine de travail étudiant au Super U de Montmélian lui permet de gagner sa vie et de contribuer à sa propre indépendance. Les rayonnages de produits, les clients, et les échanges avec les collègues font émerger son côté pratique et son sens des responsabilités. [...]
[...] La rue Félix Poulat l'accueille, une artère pleine de vies et d'histoires. Il traverse l'ombre bienveillante de la cathédrale Notre-Dame de Grenoble, un lieu d'élévation spirituelle au c?ur de la cité. Au grand carrefour, à la croisée des destins, il emprunte la rue de la République, une promesse de liberté inéluctablement menant vers son but. La rue de la République est une allée de possibilités, une avenue d'opportunités, où chaque pas est une nouvelle expérience. En atteignant les jeudis après-midi et vendredis matins, Olivier découvre le lycée Emmanuel Mounier, un havre de savoir et de partage. [...]
[...] Il descend du tram, une aventure épique qui s'achève, mais avec des souvenirs et des récits qui demeureront gravés dans son esprit comme une histoire oulipienne unique. Le vendredi soir, ardente septaine d'effort au Super U de Montmélian, surgit telle une chasse au trésor dans les dédales du labeur. Au Super Défiant de Montmélias, Olivier exécute un pas de danse, traquant sa subsistance. Le vendredi marque la fin d'une semaine ardue à explorer les merveilles de Montmélian, au sein de l'audacieux Super Défiant. [...]
[...] Son visage se dessine avec des traits fins, un nez délicat, des oreilles moyennes, et des yeux curieux qui observent le monde qui les entoure. Symboles et souvenirs durant la traversée de la ville L'itinéraire d'Olivier commence par la voiture. Il quitte Montmélian et se dirige vers la gare, traversant la campagne pittoresque, où les champs verdoyants et les petits hameaux défilent. La voiture devient son refuge, offrant un espace intime pour préparer mentalement sa journée d'études à venir. Au volant, plongé dans ses pensées, il médite sur les défis et les opportunités qui l'attendent. [...]
[...] À la gare de Montmélian, Olivier se tourne vers l'aspect logistique de son voyage. Il se dirige vers le quai du train, utilisant son sens de l'orientation aiguisé développé par ses nombreux allers-retours. Le train devient alors un sanctuaire mobile, une capsule de transition entre son chez-soi et son lieu d'études. Il choisit soigneusement un siège, généralement près de la fenêtre, plongeant dans un livre ou une révision de cours, développant ainsi sa dimension intellectuelle. Libertés et découvertes Arrivé à la gare de Grenoble, une ville aux multiples visages, Olivier poursuit son trajet en tram. [...]
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