Sujet d'imagination : "Sa Majesté des mouches" - publié le 04/06/2019

Résumé du document

Sujet : Un dialogue dans un récit, un changement de point de vue sur le roman lu. A son retour en Angleterre, Ralph se retrouve chez lui, bouleversé. Il se confie sur ce qu'il vient de vivre.

Extraits

[...] Pourtant, au début on était amis. Il était chargé du feu. Une fois, ils ont oublié de s'occuper du feu et un bateau est passé sans nous voir. » Sa mère demande : « De quel feu parles-tu ? » « Au sommet de la montagne, on a allumé un grand feu pour faire de la fumée. On pensait que la fumée allait faire venir des bateaux. Alors le groupe de Jack devait s'en occuper, mais ce jour-là, il a oublié . [...]

[...] Au début, tout se passait bien. Tout le monde travaillait pour trouver à manger, à boire, ou ramasser du bois. » Sa mère le regardait attentivement. « C'est très bien de vous être occupés de tout dans le calme. Ce n'est pas facile de vivre tous ensemble sans se disputer » « Mais ça n'a pas duré longtemps. Après on a fait deux groupes. C'était presque une guerre avec Jack. Il était jaloux parce que les autres m'écoutaient plus que lui. [...]

[...] Quand je me suis réveillé, j'étais par terre dans la jungle. Il n'y avait personne autour de moi. J'ai pensé que j'étais seul » « Tu n'étais pas blessé ? » Demanda sa mère « Heureusement, je n'avais rien de grave, mais j'avais mal partout J'ai marché dans la jungle pour voir si d'autres étaient vivants. Derrière un rocher, j'ai rencontré un garçon qui était coincé dans des lianes. Tu sais au début je ne pensais pas qu'on serait amis . [...]

[...] Il était un peu gros avec des lunettes. Il avait de l'asthme Mais je l'aimais bien, il était intelligent. » « Pourquoi est-ce que tu parles de lui au passé ? Que lui est-il arrivé ? » dit sa mère. « Roger, un garçon cruel et méchant l'a tué Il l'a poussé du haut d'une falaise et il est mort. Tout le monde aimait Porchinet même s'il se moquait de lui. » Ralph était en colère en repensant à ça et aussi à la mort tragique de Simon, mais il ne dit rien, car sa mère avait des larmes aux yeux. [...]