Lettre à Zlata, Richard Seguin, On partira, Patrick Bruel, chanson, lyrisme, guerre, enfance, émotion, rythme
Richard Séguin et Patrick Bruel sont deux auteurs-compositeurs-interprètes de langue française. À travers cette analyse comparative de « Lettre à Zlata » de Richard Séguin (1995) et « On partira » de Patrick Bruel (2008), nous soulignerons les similarités et les divergences entre ces deux chansons. Nous aborderons d'abord la thématique commune de ces textes, puis nous nous intéresserons aux particularités de l'énonciation dans les deux chansons, qui introduisent une nuance dans le message porté par chaque chanson.
[...] Lettre à Zlata - Richard Seguin (1995) ; On partira - Patrick Bruel (2008) - Analyse comparative Richard Séguin et Patrick Bruel sont deux auteurs-compositeurs-interprètes de langue française. A travers cette analyse comparative de « Lettre à Zlata » de Richard Séguin (1995) et « On partira » de Patrick Bruel (2008), nous soulignerons les similarités et les divergences entre ces deux chansons. Nous aborderons d'abord la thématique commune de ces textes, puis nous nous intéresserons aux particularités de l'énonciation dans les deux chansons, qui introduisent une nuance dans le message porté par chaque chanson. [...]
[...] On trouve cependant une certaine structure, qui participe au message de la chanson : l'anaphore « On partira », qui sert tout à la fois de refrain et de leitmotiv, transmet un message d'espoir en insistant sur la perspective d'un plus bel avenir ailleurs. Pour conclure, ces deux chansons évoquent les malheurs de la guerre avec un grand lyrisme, montrant comment l'enfance peut être gâchée par ces violences et ces destructions. Cependant, tandis que la chanson de Richard Séguin dénonce cette enfance malheureuse, celle de Patrick Bruel comporte un message d'espoir à travers la perspective d'un départ loin des atrocités de la guerre. [...]
[...] Patrick Bruel se met dans la peau d'un enfant qui contemple les ruines de sa ville en compagnie de sa mère, témoins des ravages de la guerre. Ainsi, on retrouve un champ lexical de la guerre et de la violence dans les deux chansons (« ruines », « démoli », « guerres » dans la chanson de Patrick Bruel, et « on meurt », « cibles », « snipers », « obus », « les tirs et les rafales », « combats » dans la chanson de Richard Séguin). La mise en musique de ces chansons, centrée sur la voix du chanteur avec peu d'instruments, participe à l'expression de l'émotion face aux ravages de la guerre. [...]
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