Les Grands Économistes, Robert L Heilbroner, système économique, Adam Smith, Charles Fourier, enjeux économiques, révolution industrielle, David Ricardo, socialisme, Thomas Malthus, Karl Marx, Effet Veblen, Thorstein Veblen, Keynes, Schumpeter, Robert Owen, John Stuart Mill, matérialisme, Engels, communisme, Pierre-Joseph Proudhon, capitalisme, Francis Edgeworth, Frédéric Bastiat, libre-échange, Henry George, messianisme, impérialisme, John Hobson, Lénine, Alfred Marshall, équilibre économique, théorie générale de l'emploi, crise de 1929, New Deal, conservatisme, accords de Bretton Woods
Aujourd'hui, l'économie est moins prévisible qu'avant, selon Lowe, car le système est déréglé. Il faut donc concevoir le système actuel comme un nouveau système économique, selon lui.
Quant aux grands économistes, il n'en existe plus de nos jours malgré de prodigieux économistes, comme Friedman ou encore Galbraith, qui ont notamment été élus prix Nobel d'économie. Ils n'essayent pas de concevoir des théories sur la société future et ses problèmes éventuels, ils sont concentrés sur d'autres thématiques qui, aujourd'hui, sont aussi très importantes et qui n'existaient pas avant. De plus, l'économie occupe aujourd'hui une place beaucoup moins centrale dans la société que par le passé.
[...] Pour Marx, c'est afin d'extraire leur plus-value que les capitalistes détruisent le système capitaliste. Le capitaliste est-il condamné ? (Page 163-170) : Marx avait prédit l'émergence de grandes entreprises alors qu'à l'époque, cela n'était pas commun du tout. Marx avait prévu la fin du capitaliste, qui est notamment apparu en Europe de l'Est et en Russie (cela pour notamment des raisons sociales et cela Marx l'avait également prédit). Le capitalisme a notamment mené en Italie et en Allemagne au fascisme. Marx pensait aussi en effet que l'Etat ne pouvait rectifier le mal du capitalisme car pour lui l'Etat était l'instrument de la classe dirigeante qu'est le patronat (ce qui montre que rien ne pouvait sauver le capitalisme). [...]
[...] car il ne sert pas vraiment à protéger les marchés des entreprises locales. De plus ce type d'impérialisme est également pratiqué par la Chine et la Russie, des puissances communistes. Cela ne rend pas l'impérialisme économique moins dangereux que l'impérialisme politique mais du moins cela permet de montrer que le capitalisme n'est pas la seule source de mouvements nationaux agressifs. Alfred Marshall (page 210-212) : Le plus grand économiste de l'ère victorienne (1837-1901) est Marshall, son élève le plus talentueux est John M. [...]
[...] De par la concurrence, le capitaliste doit augmenter continuellement le nombre de machines et réduire sa main-d'?uvre mais en faisant cela, il réduit en même temps la consommation car ce processus crée du chômage. Commence alors une bataille pour écouler les biens à bas prix. Cette crise fait disparaître les entreprises les plus petites, elles se font alors absorber par les grandes entreprises. C'est la crise capitaliste, elle ne dure pas éternellement et au bout d'un moment les ouvriers sont obligés d'accepter des salaires en dessous de leur valeur et dès lors la plus-value réapparait et le cycle recommence jusqu'à ce que les plus grosse entreprises (les monstres) s'écroulent. [...]
[...] Suite à cela, de nombreuses entreprises furent en faillite (à cause de la chute des banques et de la baisse de la consommation). Le chômage avait alors pris son envol (à Muncie dans l'Indiana ouvrier sur 4 avait perdu son emploi à la fin des années 1930. La construction déclina de millions de comptes d'épargne furent clôturés, les salaires diminuèrent de 60% et les dividendes de 40%. Le niveau de vie déclina fortement en revenant à celui de 20 ans auparavant. Personne n'arrivait à trouver des solutions contre le chômage à ce moment-là. [...]
[...] Aujourd'hui le système du marché garde en somme les mêmes règles mais la concurrence est quelque peu remise en cause car des entreprises multinationales gigantesques peuvent subir la concurrence sans pour autant réduire les prix (ex : Apple) et les syndicats de travailleurs ne permettent pas de réguler de manière identique l'embauche? Le paradis de Adam Smith (page 61-62) : Pour Smith la division du travail permet de produire plus. Les lois de la croissance (page 64-67) : Pour Smith, épargner permet en effet d'accroître sa richesse. Mais selon lui l'accumulation pour l'accumulation ne sert à rien, il faut acculer alors des machines (facteurs de productions - capital). [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture