SES Sciences Économiques et Sociales, croissance économique, droit de propriété, progrès technique, croissance soutenable, destruction créatrice, Schumpeter, productivité, investissement, facteur de production, bien collectif, PIB Produit Intérieur Brut, valeur ajoutée, Robert Solow, mondialisation, rapport Brundtland, développement durable
Pour produire des biens et services, l'organisation productive associe deux facteurs de production : le travail et le capital. Elle choisit alors la combinaison productive la plus efficace. L'entreprise, en vendant sa production, mesure ses recettes tirées des ventes ou son chiffre d'affaires. Mais cet indicateur n'est pas une bonne mesure de la richesse créée. En effet, une partie de la production n'est pas vendue et la production a détruit ou transformé des richesses produites auparavant par d'autres entreprises. Ainsi, pour mesurer les richesses nouvellement créées sur le territoire, on utilise la valeur ajoutée.
[...] Il y a donc des externalités positives importantes, mais sans intérêt pour l'entreprise qui investit, en conséquence, il y a peu de chance pour que l'entreprise investisse. C'est donc l'Etat qui intervient, soit pour réaliser lui-même l'investissement, soit pour inciter les entreprises à le faire. = tout est relié : Accumulation du capital public ? hausse des infrastructures (santé, éducation?) ? hausse du capital humain. Accumulation du capital humain ? hausse des qualifications ? hausse des capacités à innover et à utiliser les innovations (hausse du capital technologique) ? [...]
[...] si mesures plus strictes dans ce domaine ? les prix des terres rares vont augmenter et ainsi le prix des objets connectés aussi. On observe une corrélation positive entre le PIB / hab et l'empreinte carbone. + le PIB / habitant est fort + l'empreinte carbone est élevée. ? car : les personnes riches voyagent + que les autres, et avions? libèrent de CO2. les personnes riches ont une alimentation plus carnée, or la production de viande émet beaucoup de carbone. [...]
[...] Alors = nécessité de promouvoir le progrès technique pour encourager la croissance et préserver les ressources naturelles. C'est dans le rapport Brundtland (1987) que le développement durable (ou soutenable) est défini comme la capacité des générations présentes à satisfaire leurs besoins, sans compromettre la capacité des générations futures à satisfaire les leurs. La soutenabilité faible repose sur la substitution du capital physique et technologique au capital naturel. Le progrès technique permet des innovations qui utiliseront moins de ressources et qui limiteront la pollution. [...]
[...] les secteurs qui se développent créent directement de l'activité et de l'emploi. ? ils en créent aussi indirectement en amont et en aval de leur activité. ? les gains de productivité augmentent le pouvoir d'achat et permettent le développement d'une demande qui s'adresse à d'autres secteurs. Le développement du commerce en ligne permet d'illustrer ces 3 points. Le commerce en ligne embauche du personnel pour son activité (mettre en ligne les produits, réaliser le service après-vente, suivre les commandes, préparer les commandes, les expédier?), génère de l'activité chez ses fournisseurs en amont (maintenance informatique . [...]
[...] L'Inde et la Chine ont le plus fort taux de variation du stock de capital et la plus forte contribution du capital à la croissance. Par exemple, en Chine, entre 2005 et 2018, le stock de capital a augmenté en moyenne de 12,2% par an. Toutes choses égales par ailleurs le PIB aurait augmenté de par an en moyenne du fait de l'augmentation du stock de capital. Il y a également ici une causalité. Un investissement plus important permet la modernisation du capital, ce dernier devient plus efficace (hausse de la productivité) et hausse de la croissance. [...]
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