Personnes âgées, famille, histoire, Seconde Guerre mondiale, désespoir, amour, littérature allemande, secret de famille, victoire, imagination
Cette rédaction relate une histoire qui doit inclure les éléments suivants : une personne âgée, une montagne, un objet cassé et une victoire.
[...] Cependant la famille maternelle de Peter guère plus composée à l'époque en vérité de sa grand-mère Simona et de sa mère Sarah était très courageuse et bien voulaient se rebeller à leur manière contre l'oppression. Ainsi, ils choisirent d'adopter le silence. Le silence est finalement la forme la plus subtile et puissante du mépris. Vous niez l'individu dans ce qui le constitue. Vous le niez dans son existence, dans son être même. Ainsi, n'avait-il même pas le droit à un « bonjour » qu'il continuait cependant à leur adresser chaque matin. [...]
[...] Peter était un élève très assidu à l'époque. Tous les soirs, il faisait ses devoirs à la lumière d'une précieuse lampe à laquelle sa grand-mère lui avait demandé de faire très attention. C'était une lampe très ancienne d'une conception fine et entièrement en or. Jusqu'à une certaine époque, Peter était plutôt porté vers les matières scientifiques plus jeune mais au fur et à mesure qu'il grandissait, il se découvrait une passion pour les matières littéraires et notamment pour l'écriture. Un jour, il découvrit dans un vieux tiroir des lettres enflammées qui s'adressaient à sa mère et même s'il était gêné de lire ces lettres d'amour dont sa mère était l'objet, sa curiosité l'emportait. [...]
[...] Malheureusement, vers l'âge de quinze ans, alors qu'elle s'apprêtait à se mettre à table, sa mère lui fit la réflexion qu'encore une fois, « quelqu'un allait se mettre à table à l'?il » - cette phrase résonnait encore dans la mémoire de la grand-mère de Peter des années après - Ni une, ni deux, elle décida alors de rendre ses livres à l'époque, elle qui pouvait rêver de décrocher le baccalauréat, et se mit à apprendre la sténographie dans le but de devenir secrétaire médicale. Et elle en fit une très efficace, rapide, d'une orthographe irréprochable. Cependant, elle gardait toujours dans un coin de son c?ur, un certain regret. [...]
[...] Il avait peine à croire qu'elle aurait pu écrite par son père. Cela devait donc probablement provenir d'un amoureux que sa mère avait connu avant son père, lui qui semblait bien loin de tous ces élans poétiques. Au fur et à mesure des nombreuses lettres qu'il lisait, il découvrait la connivence qu'il existait entre l'auteur de ces lettres et sa mère. Le mystérieux écrivain jouait du piano, alors que la musique était étrangère à son père, il conversait de longues heures autour de la littérature et des beaux-arts avec sa mère. [...]
[...] Peter et sa grand-mère, Simona Un jeune homme vivait avec sa grand-mère nommé Simona depuis son plus jeune âge. Ils vivaient tous les deux dans un chalet dans les Alpes. Ses parents travaillaient beaucoup. Son père était un industriel qui voyageait beaucoup entre la France et l'Italie. C'était un homme très brillant, grand, mince, il parlait couramment plusieurs langues et son entreprise prospérait dans ce renouveau économique qu'offraient les années 1960. C'était un entrepreneur des plus efficaces dans le secteur de l'automobile. [...]
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