Apparition de la démocratie, idée représentative, abstention électorale, démocratie directe, libéralisme, représentants du peuple, gouvernement représentatif, Parlement, féodalité, Jean-Jacques Rousseau
Toutes les démocraties contemporaines sont des démocraties représentatives. Ce type de régime signifie que la légitimité de tout pouvoir politique vient du peuple : c'est la particularité de la démocratie, mais l'exercice de ce pouvoir est délégué à des représentants, et les citoyens ont pour fonction d'assumer la charge du pouvoir dans son application concrète. Le débat n'est pas théorique : l'hostilité envers les régimes représentatifs a exacerbé de nombreuses turbulences dans le système démocratique, notamment des turbulences incendiaires, et a rendu les gens méfiants à l'égard des représentants du peuple au pouvoir. Le monde occidental traverse actuellement au moins une crise potentielle au niveau de ses représentants, qui se manifestent également par le mécontentement des Français vis-à-vis des politiques, qui se manifeste par l'abstention électorale.
[...] La coordination dans le monde social est l'image de la démocratie directe dans le monde social. Par conséquent, sa caractéristique est qu'il n'y a pas d'organisation « représentative ». Ce système démocratique direct, bien qu'il ne soit pas le plus petit et le plus répréhensible, est hostile à tout système représentatif et semble être l'image la plus pure de la démocratie. En fait, ce nettoyage ne peut éviter les problèmes. La première difficulté est l'instabilité du pouvoir, que l'on peut voir dans l'histoire des expulsions fréquentes des anciens patrons. [...]
[...] Dans le même temps, il ne faut pas oublier que le résultat de cette critique n'a pas été une démocratie plus profonde, mais une ruine totalitaire de régimes inspirés par les communistes. À moins que cet échec ne signifie simplement que la vraie démocratie est impossible et qu'il faut se contenter de pâles réflexions sur l'idéal. Mais le reflet du système représentatif peut devenir illusoire. Comme l'a souligné Rousseau, le système de représentation n'est en effet pas inspiré par la démocratie. Le système de représentation est moderne : il vient du gouvernement féodal, ce gouvernement unique et absurde, dans lequel les espèces se dégradent et les noms sont humiliés. [...]
[...] La charte est considérée comme l'ancêtre du parlement et la première graine de l'État de droit, car elle garantit la liberté. Plus important encore, au cours des derniers siècles, le Parlement britannique l'utilisera pour renforcer son pouvoir. En France également, le parlement vient directement du parlement du roi. II. La représentation démocratique A. Représenter la souveraineté À un certain moment, des pensées représentatives se confondent avec des pensées démocratiques. Nous pouvons déterminer la date de cet événement unique. Le passage de la représentation féodale à la démocratie a eu lieu à deux dates : du 17 au 20 juin 1789. [...]
[...] De l'apparition de la démocratie à l'idée représentative Toutes les démocraties contemporaines sont des démocraties représentatives. Ce type de régime signifie que la légitimité de tout pouvoir politique vient du peuple : c'est la particularité de la démocratie, mais l'exercice de ce pouvoir est délégué à des représentants, et les citoyens ont pour fonction d'assumer la charge du pouvoir dans son application concrète. Le débat n'est pas théorique : l'hostilité envers les régimes représentatifs a exacerbé de nombreuses turbulences dans le système démocratique, notamment des turbulences incendiaires, et a rendu les gens méfiants à l'égard des représentants du peuple au pouvoir. [...]
[...] D'où la communication difficile avec l'exécutif, constamment soulevée en France depuis la crise du harcèlement en 1884. En même temps, l'idée représentative sous forme de discours représentatif donne à la démocratie son aspect pluraliste, que le concept d'« incarnation » n'a pas nécessairement ; représentation. De cette manière, le système représentatif génère une variété de points de vue, la liberté de conscience, en bref, est un symbole de la démocratie en tant que système compétitif. Nous trouvons un mouvement qui mène de la théorie de la souveraineté du peuple à la théorie de la démocratie en tant que système de choix du peuple. [...]
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