L'approche de la firme par les coûts de transaction, Idées économiques et sociales, Les théories de la firme, Xavier Galiègue, Olivier Weinstein, théories de la firme, coûts de transaction, théorie de Williamson
Ceci est un travail d'économie générale qui porte sur les textes suivants :
- Galiègue, X. (2012). L'approche de la firme par les coûts de transaction. Idées économiques et sociales, 170(4), 16-24. https://doi.org/10.3917/idee.170.0016.
- Weinstein, O. (2012). Les théories de la firme. Idées économiques et sociales, 170(4), 6-15. https://doi.org/10.3917/idee.170.0006.
[...] Cette tendance est reflétée dans la croissance du secteur des services aux entreprises. Parallèlement, on observe le développement d'un modèle de production modulaire, où les entreprises industrielles délèguent une grande partie de leur production à des sous-traitants, se concentrant elles-mêmes sur l'assemblage. Les activités de ces entreprises se limitent principalement à la le marketing, la publicité et la gestion du réseau de sous-traitants. En outre, une évolution notable est l'émergence de formes organisationnelles intermédiaires entre le marché et l'entreprise, qualifiées d'hybrides, comme les franchises. [...]
[...] Il souligne que la firme se distingue par sa capacité à conférer le pouvoir de décision à sa direction, notamment en raison de la spécificité du contrat de travail qui lui permet de diriger les employés. Le c?ur de la théorie est la protection contre les comportements opportunistes résultant de l'incomplétude des contrats, en particulier lorsque les agents doivent effectuer des investissements spécifiques, qui ne sont pas réutilisables hors de la transaction en cours. Ces investissements créent une dépendance mutuelle et chaque partie peut craindre un "hold-up" où l'autre partie tenterait de s'approprier le bénéfice de la transaction. [...]
[...] 3.3 La théorie des contrats incomplets La théorie des contrats incomplets, élaborée par Grossman, Hart et Moore, modifie la vision contractuelle traditionnelle en mettant l'accent sur la distinction entre la firme et le marché et le rôle de l'autorité dans la firme. Cette théorie maintient l'idée que les agents sont rationnels et orientés vers la maximisation de leurs intérêts. Elle met en avant deux idées principales : l'assimilation entre le contrôle et la propriété et une ambiguïté concernant la propriété des actifs, suggérant que les individus et non les firmes, détiennent et gèrent les actifs. [...]
[...] L'entreprise est perçue comme un lieu où différents intérêts coexistent et interagissent, soulevant la question centrale du contrôle de l'entreprise. 2. Les écrits de Cyert, March et Simon Les travaux de March et Simon, ainsi que ceux de Cyert et March, ont jeté les bases de la théorie behavioriste de la firme, la présentant comme une organisation complexe caractérisée par des rapports de conflits et de coopération entre différents groupes et comme un lieu d'apprentissages collectifs. Herbert Simon a également apporté une contribution significative avec sa théorie de la rationalité limitée, offrant une alternative à la rationalité néoclassique. 3. [...]
[...] Idées économiques et sociales, L'approche de la firme par les coûts de transaction - Xavier Galiègue (2012) ; Les théories de la firme - Olivier Weinstein (2012) - La firme - Galiègue, X. (2012). L'approche de la firme par les coûts de transaction. Idées économiques et sociales, 170(4), 16-24. https://doi.org/10.3917/idee.170.0016. - Weinstein, O. (2012). Les théories de la firme. [...]
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