La question du partage de la valeur ajoutée et de l'emploi en économie ouverte. Fiche d'économie mémo, fiche de révisions de 2 pages. Niveau IEP.
Raisonnement keynésien => un bon partage de la VA entre salaire et profit assure un bouclage macroéconomique et évite alternativement
- l'insuffisance de débouchés en raison de salaires trop faibles
- l'insuffisance d'investissement en raison d'une profitabilité insuffisante
I/ Le partage de la VA
II/ Le partage de l'emploi
[...] Pour freiner la mobilité du capital financier, il faut des droits de vote lors des AG calculés au prorata de la durée de la détention du titre II/ Le partage de l'emploi 2 types de travaux : Deffa, Boyer, Touffu l'emploi s'organise autour de 3 modèles : o Stabilité polyvalente des emplois) personnels dont la mobilité est interne à l'entreprise détiennent des compétences spécifiques mais dans des domaines de spécialisation étroits mais capables d'une certaine polyvalence o Flexibilité du marché des emplois) Faible niveau de qualification L'employabilité dépend des conditions de marché et du prix relatif du travail o Professionnel des emplois) Travailleurs nomades Très qualifiés avec statut d'indépendant souvent (cabinet d'architecte, de conseil ) En fait, le groupe qui souffre d'un effectif en recul est celui de la stabilité polyvalente au profit des 2 autres inquiétant. [...]
[...] LA QUESTION DU PARTAGE DE LA VA ET DE L'EMPLOI EN ECONOMIE OUVERTE Le partage de la VA Raisonnement keynésien un bon partage de la VA entre salaire et profit assure un bouclage macroéconomique et évite alternativement l'insuffisance de débouchés en raison de salaires trop faibles l'insuffisance d'investissement en raison d'une profitabilité insuffisante Si le partage primaire (spontané) de la VA ne s'effectue pas bien, il faut l'intervention de l'Etat pour obtenir un partage secondaire (corrigé) : prélèvements sur les salariés, les ménages ou les entreprises redistribution sous la forme de transferts sociaux ou d'aides aux entreprises Le keynésianisme triomphant dans les '70 a très bien marché car s'appliquait à des économies fermées, autocentrées. Keynes n'avait pas envisagé l'ouverture des économies et le fait que l'arbitrage des consommateurs puissent se faire en faveur des importations On comprend que les néo-keynésiens soient proeuropéens circuit bouclé au niveau européen 90% des échanges européens sont intra-européens Cependant notre intégration financière a été loupée à cause de la manœuvre d'Euronext Le revenu des facteurs est lié à leur propension à la mobilité il ne faut plus raisonner sur le capital ou le travail comme ensemble homogène cf. [...]
[...] Dued et Colletis o Travailleurs tayloriens travail de répétition, exécutant ordre pénibilité du travail o Travailleurs néo-tayloriens Tâches routinières en utilisant des nouvelles technologies Travail totalement prescrit pas de créativité et utilisation d'Internet ne fait qu'augmenter le contrôle Pas de pénibilité au travail mais stress o Travailleurs cognitifs Confrontés chaque jour à une situation inédite Esprit d'équipe, prise d'initiative Compétence reconnue symboliquement Responsabilité confiée, charge mentale mais pas vraiment de stress Interpénétration vie privée / sphère professionnelle Evolution incertaine les néo-tayloriens ne se réduisent pas. S'il devait avoir mutation vers un capitalisme cognitif, il faudrait que les travailleurs cognitifs deviennent les noyaux durs des salariés autour desquels les normes salariales seraient produites. [...]
[...] Le revenu du travailleur professionnel augmente et le nombre de travailleurs non qualifiés augmente reprise des inégalités. La dérive des classes moyenne se joue là. [...]
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