Le rôle de l'investissement dans la croissance, les facteurs qui déterminent la décision d'investir, et l'investissement permettant la mise en oeuvre du progrès technique. une dizaine de pages, pour combler les lacunes du fonctionnement de l'économie.
[...] d'utilisation d'équipement supplémentaires. Mais durable Les effets positifs de l'investissement dans la croissance 1 > A cour terme l'investissement stimule la demande de biens et services. Quand une entreprise investie, elle fait augmenter la demande de biens de production durable (FBCF). Elle a un effet sur la croissance (PIB).Principe mis en évidence par Keynes : L'effet multiplicateur. Variation I Variation PIB Variation C Variation E Pour : 1 vague: 100 m + 100 m + 80 m + 20 m Propension à consommer = vague: + 80 m + 64 m + 16 m = consommation 3 vague: + 64 m + 51,2 m + 12,8 m revenu 4 vague: + 51,2 m + 41 m + 10,2 m Propension à épargner = millions d'euros L'investissement a un effet multiplicateur sur le PIB c'est-à-dire qu'un investissement de 1 engendre une augmentation de PIB supérieur à 1 (plus que proportionnel). [...]
[...] Mais cela a échoué au niveau de la croissance pour au 30G) et au niveau de l'emploi avec un chômage croissant. Cette politique a oublié la demande. Elle fut faible donc les entreprises on épargnés plutôt que d'investir. Cette politique a freiné la demande donc l'investissement. Il faut une volonté d'investir La rentabilité de l'investissement Trois facteurs : L'existence d'une demande La volonté de diminuer le coût de production Il faut que l'investissement soit rentable La rentabilité de l'investissement, c'est la capacité d'un investissement à rapporter dans le futur des profits. Keynes appelle cette rentabilité l'efficacité marginale du capital. [...]
[...] Car une information doit être su de tous. - L'émission d'obligations. Une obligation : titre qui représente une créance à long terme c'est-à-dire Plus de 7 ans sur un agent économique et qui rapporte des intérêts. Celui qui émet des obligations pour se financer est en général l'état, et plus rarement les entreprises. Un créancier est une personne qui a prêté de l'argent a un quelqu'un, un débiteur, qui celui-ci a envers le créancier une dette. Les obligations se vendent et s'achètent à la bourse. [...]
[...] C'est un financement moins coûteux que l'empreint bancaire. Le niveau d'épargne brut va dépendre de la valeur ajoutée et de son partage entre les salaires et l'EBE. Ainsi l'EB va dépendre du partage de la VA. La VA se divise entre : salaires nets + cotisations sociales 100 et le taux de marge = EBE 100 valeur ajoutée VA Quand la croissance est faible, la part de l'un augmente si l'autre diminue. Pour qu'il y ai un autofinancement important, il faut que l'excédent brut d'exploitation soit favorable. [...]
[...] ) pour augmenter la demande donc la production et ainsi il y aurait hausse de la croissance. Mais les entreprises n'ont pas pus produire suffisamment ce qui a entraîné l'inflation. C'était une politique mené à contre courant (Angleterre, Allemagne avec politique de rigueur). En 83, la politique de rigueur : désindexation des salaires par rapport aux prix pour casser l'inflation ce qui entraîna une baisse du salaire réel (pouvoir d'achat), donc une baisse de la part des salaires dans la VA et une hausse du taux de marge. [...]
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