La modernité politique

Thèmes abordés

Modernité politique, légitimité du pouvoir, thèse de Rousseau, modernité démocratique, Aristote

Résumé du document

Le pouvoir législatif ne doit pas être absolu pour Locke
Protection de la property = (lois/arbitres/pouvoir d'exécuter)
La société est dominante sur l'Etat pour Locke « la loi de nature subsiste toujours comme une règle éternelle pour tous les hommes, pour les législateurs aussi bien que pour les autres »
La notion de contrat n'est réellement une fiction théorique mais une réalité -> multiplicité de forme de société -> elle ne relève pas de la nature mais constituée par les hommes eux-mêmes. Tant que les hommes ne migrent pas on peut en conclure qu'il y a un consentement tacite au contrat.

Extraits

[...] Philosophie : première partie : La modernité politique La démocratie est le régime le plus répandu de nos jours. Consensus quasi-unanime Démocratie = évidence Problème complexe, fragile - liberté : d'expression - égalité : des conditions - fraternité : redistribution A. Lincoln : le gouvernement du peuple par le peuple pour le peuple Démocratie directe / indirecte (exercice du pouvoir) Poujadisme : les politiques sont tous des pourris Le régime démocratique est le meilleur moyen d'éviter la guerre Première question : qu'est-ce que la politique ? [...]

[...] (Pour Aristote, ceux-là méritent plus que les autres) 4-souveraineté et répartition des pouvoirs Aristote se rallie à la démocratie. Churchill : La démocratie est le pire des régimes à l'exception de tous les autres Aristote : Il y a plus de sagesse et de vertus dans un groupe d'hommes qui prit individuellement qu'on homme sage et vertueux. Chacun est comme un organe du corps et ensemble font avancer la délibération Il serait dangereux de ne pas donner le pouvoir à la masse Aptitude du peuple à juger Le destinataire de la politique Celui sur laquelle elle s'applique Contre argument la politique n'as de sens que si le citoyen en assume lui-même la responsabilité Un certain nombre de fonctions reviennent à des personnes spécialise mais cela n'empêche pas que c'est toujours le peuple souverain qui doit décider La conception qu' Aristote se fait de la politique : - événements supra lunaires = nécessaire obéissant à des lois naturelles immuables = parfait et prévisible - événements sublunaire = contingent obéissant des circonstances particulières = imprévisibles (Exercice de la prudence) Le propre de l'homme prudent c'est d'être capable de délibérer correctement sur ce qui est bon et avantageux pour lui-même de l'homme prudent) - Il exploite sa réflexion pour s'adapter à une situation - la prudence ne s'enseigne pas, elle s'éprouve - Il est important d'avoir des hommes prudents dans la communauté L'homme qui est doué d'excellence politique doit faire preuve de qualités particulières Devant la contingence des événements doit prendre la meilleure Kairos Devant l'adéquation imparfaite Équité (substitue à la loi quand la loi n'a pas prévu un cas particulier) soucie du bien pour les hommes (vertu) Conclusion : Le meilleur régime possible c'est celui qui correspond le mieux à la nature des hommes en tant qu'il cherche le bonheur dans un monde qui est imparfait et qu'il dispose de la prudence Partie 2 : politique : à quelles conditions le pouvoir est-il légitime ? [...]

[...] Pour autant si la vie en société admet cela, Rousseau n'a jamais préconisé le retour à l'état de nature ( L'état de nature est une simple hypothèse ( Surtout parce que d'après Rousseau l'homme est doué d'une faculté : celle de se perfectionner (la perfectibilité) ( L'homme est doué de la faculté d'évoluer, ils ne cessent de progresser moralement, politiquement (À l'inverse des animaux figés ; pas d'évolution) Les êtres humains sont doués de la faculté d'évoluer / de se transformer . [...]

[...] ( Entre celle qui privilégient la liberté politique et celle qui mettent l'accent sur la P.S Conclusion : La démocratie post-totalitaire : La démocratie grecque repose sur un statut de citoyen qui exclut une majorité de la population alors même que la démocratie moderne repose au contraire sur l'idée d'égalité de tous les hommes et sur la participation de tous à l'expression de la volonté générale. Les régimes anti-démocratiques (fascisme, nazisme, communisme soviétique . ) ont joué un très grand rôle dans le succès de la démocratie aujourd'hui. [...]

[...] Ceux qui gouverne ou ceux qui sont gouvernés Constitution d'un régime politique : ce qui compte en premier c'est le niveau social de ceux qui gouvernent Ce n'est pas le nombre qui joue mais la richesse Oligarchie : pouvoir du petit nombre aisé sur le grand nombre modeste Démocratie : pouvoir des individus modestes sur le petit nombre aisé Ce n'est pas la richesse qui fait le grand nombre mais le grand nombre qui fait la richesse La manière de gouverner est liée au niveau social de ceux qui gouvernent : Modeste = démocratie = égalité des droits Aisé = oligarchie = inégalité des richesses 3-le lien de la philia Oligarchie le juste = l'inégal Démocratie le juste = l'égal Pour qu'il existe une communauté il faut un lien entre les individus, il faut une forme d'amitié, la philia Or toute ces relations sont l'œuvre de l'amitié car l'amitié c'est le choix réfléchie de vivre ensemble. La fin d'une cité c'est donc la vie heureuse alors que les relations en questions sont en vue de cette fin. [...]