Personnes handicapées, foyer de vie, droit à la participation, intégration, Conseil de la vie sociale, utilité sociale, déficience intellectuelle, handicap mental, insertion, vieillissement, management participatif, handicap psychique, handicap physique
Actuellement, il y a environ huit millions de personnes en situation de handicap et près d'un milliard sur l'ensemble de la scène internationale. Ces chiffres sont toutefois à nuancer et sont évolutifs, car tous les handicaps n'apparaissent pas à la naissance (il en est ainsi des personnes qui ont des accidents).
Au niveau international, il y a eu de nombreuses évolutions. Parmi celles-ci (et de manière non exhaustive), il y a eu notamment l'adoption de la Déclaration des droits des personnes handicapées par l'Organisation des Nations Unies (ONU) le 9 décembre 1975. Puis, le 9 décembre 1989, la Charte sociale européenne du Conseil de l'Europe a été entérinée. Elle a pour dessein d'obliger les États membres à adopter l'ensemble des mesures permettant d'améliorer les droits des personnes handicapées. Puis, plus récemment, l'ONU a adopté une autre Convention sur les droits des personnes handicapées en 2006.
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Ces foyers de vie ont pour objet d'accueillir des personnes dont le handicap est au moins de 50%. Il peut s'agir d'héberger ces personnes de façon totale ou partielle (l'hébergement de nuit n'est pas une obligation) pour leur proposer des activités et des animations tout en leur laissant une autonomie. Pour être admis, il faut donc que les personnes concernées soient en mesure de subvenir à leurs besoins en dehors du Foyer de vie.
Si les personnes dont le handicap est supérieur à 50% peuvent être admises, il faut néanmoins que la commission des droits et de l'autonomie des personnes handicapées (CDAPH) se prononce favorablement avant chaque admission.
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À l'origine, il était d'usage de qualifier de « retardés mentaux » ou de « handicapés mentaux » les personnes ayant une déficience intellectuelle et de les placer dans des institutions, ou dans des écoles ou des lieux de travail à l'écart, où ils n'avaient quasiment que des devoirs et aucun droit.
L'institutionnalisation des personnes ayant une déficience intellectuelle a commencé avec la création d'un nombre impressionnant d'institutions médico-sociales spécialisées qui continuent de croître, surtout dans les pays développés. Les personnes ayant une déficience intellectuelle vivaient dans ces institutions en dehors de leur famille et de leur communauté, parfois toute leur vie. Cela les mettait à l'écart de la société pour l'entièreté de leur existence.
[...] Toutefois, cela impose d'avoir suffisamment de moyens humains et financiers. Dès lors, cela ne sera sûrement pas possible dans tous les Foyers de vie. Ainsi, il convient de prendre en compte le gémissement de la population au sein des Foyers de vie, étant donné que l'espérance de vie ne va cesser de s'accroître au fil des prochaines décennies. La mise en place d'un management bientraitant : En France, il existe plusieurs formes de management. Cela signifie qu'il s'agit d'une notion polysémique mais aussi d'un concept évolutif. [...]
[...] La motivation est souvent intrinsèquement liée à la productivité de l'entreprise. Par conséquent, le management participatif n'est a priori pas source de moins-value pour une entité professionnelle. Au contraire, en ayant des salariés soucieux d'atteindre les objectifs de l'entreprise, ceux-ci auront tendance à s'investir davantage plutôt que de faire le strict minimum. Le bien-être des salariés a longtemps été négligé par les entreprises. Dorénavant, celui-ci est de plus en plus mis en avant et constitue parfois la pierre angulaire du fonctionnement d'une entité professionnelle. [...]
[...] Déficience intellectuelle et handicap mental : A l'origine, il était d'usage de qualifier de « retardés mentaux » ou d'« handicapés mentaux » les personnes ayant une déficience intellectuelle et de les placer dans des institutions, ou dans des écoles ou des lieux de travail à l'écart, où ils n'avaient quasiment que des devoirs et aucun droits. L'institutionnalisation des personnes ayant une déficience intellectuelle a commencé avec la création d'un nombre impressionnant d'institutions médico-sociaux spécialisées qui continuent à se développer surtout dans les pays développés. Les personnes ayant une déficience intellectuelle vivaient dans ces institutions en dehors de leur famille et de leur communauté, parfois toute leur vie. Cela les mettait à l'écart de la société pour l'entièreté de leur existence. [...]
[...] Il a été démontré que le système fonctionne efficacement et produit des résultats positifs et qu'il est soutenu dans une certaine mesure par des sources de données subjectives et objectives. - Pratique prometteuse : Un programme, une activité ou une stratégie qui a fonctionné au sein d'un Foyer de vie et qui promet, à ses débuts, de devenir une pratique exemplaire ayant un impact durable à long terme. Une pratique prometteuse doit avoir une base objective pour prétendre à l'efficacité et doit pouvoir être reproduite par d'autres établissements. [...]
[...] En effet, les personnes qui encadrent ces réunions ne prennent pas toujours le temps de donner la parole à chacun des résidents. Pourtant, j'observe que les résidents sollicitent constamment l'équipe éducative sur les temps informels et leur parole n'est pas toujours prise en compte sur ces moments. Cela laisse supposer que seuls les Conseil de Vie permettent de donner la parole aux résidents. Dans cette configuration, il serait peut-être plus pertinent que ces Conseils soient plus fréquents qu'une fois par mois. Aussi, quelques résidents n'ayant pas accès à la parole, n'ont à ce jour aucun moyen d'exercer leur droit de participation. [...]
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