1- Établissez la relation entre le revenu disponible, la consommation et l'épargne
2- Après avoir défini le pouvoir d'achat des ménages, présentez son évolution entre 2008 et 2009. Quel lien peut-on faire entre l'évolution du pouvoir d'achat et évolution de l'épargne ?
3- À qui s'adressent les produits vendus collectivement ? Quels sont les avantages des achats groupés ?
[...] Les rames sont en croix sur les sièges, comme d'habitude. Tout est comme d'habitude, sauf que Nora et Olivia sont perdues. » Ainsi, le poème d'Anne Fontaine intitulé « Ophélie » et le roman Les fous de Bassan écrit par Anne Hébert ont de nombreuses résonances. Dans les deux textes, il est question de la disparition de jeunes filles dont la mort mystérieuse est évoquée de manière tragique et pathétique. Dans les deux œuvres, la Nature est omniprésente, comme une entité à part entière, volontiers personnifiée. [...]
[...] Nous avons l'impression d'une Nature pleine de compassion envers la jeune femme. « L'écho » pourrait symboliser une voix qui ne peut trouver de réponse. De la même manière, la nature est omniprésente dans Les Fous de Bassan : « "Dans toute cette histoire il faudrait tenir compte du vent, de la présence du vent, de sa voix lancinante dans nos oreilles, de son haleine salée sur nos lèvres. Pas un geste d'homme ou de femme, dans ce pays, qui ne soit accompagné par le vent. [...]
[...] Les fous de Bassan est un roman écrit par Anne Hébert publié en 1982. Il raconte de cinq manière différente la mort tragique de deux jeunes filles de 15 ans. Le poème d'Anne Fontaine intitulé Ophélie semble faire référence au célèbre personnage de de Sharkespeare, notamment Rimbaud dont avec le poème portant le même nom « Ophélie ». Nous allons étudier le poème d'Anne Fontaine en tenant de voir en quoi il peut faire référence au roman d'Anne Hébert. Ce poème évoque d'abord la mort tragique d'une jeune fille. [...]
[...] La dimension aquatique est donc présente dans ces deux ouvrages. La douceur et la fragilité de cette jeune fille sont évoquées de la manière suivante : « rires frais, fragiles », « sanglot cristallin », « tendresse en fuite », « coeur » d'une enfant. Après avoir évoqué la jeunesse et la douceur de cette jeune femme, il peut être intéressant d'étudier la manière dont la jeune femme se confond avec la nature : « Les feuillages de saule aux cheveux emmêlés » qui lui donnent par ailleurs presque une allure christique. [...]
[...] Et c'est la même chose dans le roman Les fous de Bassan puisque le village de Griffin Creek est comme un village fantôme à jamais traumatisé par la disparition tragique des deux jeunes filles que sont les cousines Nora et Olivia Atkins, à l'image du révérend Nicolas Jones comme le suggère ce passage : "La première chose que j'ai vue en arrivant sur la grève, c'est la chaloupe de Stevens, attachée à son pieu dans le sable. L'eau clapote doucement contre le flanc du bateau de Stevens. [...]
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