Bois, filière bois, forêts, biodiversité, gaz à effet de serre, émissions de CO2, pétrole, sylviculture, réchauffement climatique, PNACC Plan National d'Adaptation au Changement Climatique, MES Millenium Ecosystem Assessment, stratégie climatique, Loi Climat et résilience
Nous pouvons nous apercevoir actuellement que la forêt et l'utilisation du bois font l'objet de nombreux enjeux aux avantages à rapprocher. Elles sont donc au centre des stratégies à long terme pour l'avenir et le futur de notre société.
Parmi les difficultés que la forêt doit affronter, figure l'adaptation aux conséquences du changement climatique, la préservation de la variabilité biologique, le raffermissement de son rôle de diminution des risques du réchauffement climatique et par voie de conséquence l'atténuation progressive de l'émission avérée de CO2 dans l'atmosphère.
[...] Quels sont les enjeux stratégiques du monde de la forêt et de la filière bois, à savoir ceux de la biodiversité, de la fixation du carbone, du bois considéré comme produit de remplacement du pétrole ? Nous pouvons nous apercevoir actuellement que la forêt et l'utilisation du bois font l'objet de nombreux enjeux aux avantages à rapprocher. Elles sont donc au centre des stratégies à long terme pour l'avenir et le futur de notre société. Parmi les difficultés que la forêt doit affronter figure l'adaptation aux conséquences du changement climatique, la préservation de la variabilité biologique, le raffermissement de son rôle de diminution des risques du réchauffement climatique et par voie de conséquence l'atténuation progressive de l'émission avérée de Co2 dans l'atmosphère. [...]
[...] Des services écosystémiques existent aujourd'hui pour ?uvrer dans cette politique de pérennisation de la biodiversité, dont le Millenium Ecosystem Assessment (MES). En effet, ce service écosystémique dispose en quatre séries sa contribution pour la conservation de notre biodiversité. Elles sont la fourniture ou le ravitaillement, la régulation, les activités culturelles et l'autoconservation. En réalité les activités écologiques en faveur de la protection de la biodiversité que le MES fournit sont : l'approvisionnement en bois (dont 7,5 millions de m3/an dans les Alpes de ces arbres sont résineux.), la sauvegarde des surfaces forestières contre les dangers naturels et les aléas climatiques, la fabrication de paysages originaux, et de milieux et de réseaux trophiques uniques. [...]
[...] Dans le présent travail, notre objectif est de développer les enjeux du mode de la forêt et de la filière bois tels que nous avons cités en supra à savoir ceux de la biodiversité, la fixation du carbone, le bois considéré comme produit de remplacement du pétrole et bien d'autres. Afin de prétendre à une tâche cohérente, nous allons parler progressivement de ces enjeux ainsi que des stratégies qui y sont relatives. Le premier enjeu auquel la forêt doit faire face : l'adaptation au changement climatique Il est important de souligner que le changement climatique impacte le cours démographique des espèces vivantes animales et végétales dont la croissance, la reproduction, la mortalité et la disparition voire même l'extinction. [...]
[...] Selon les spécialistes de l'écologie, cette initiative du MES impacterait positivement sur la préservation des forêts et de la biodiversité et a en particulier des conséquences sûres sur le peuplement forestier. Il est fort possible également d'avoir des gains de productivité. Les enjeux secondaires : En ce qui concerne plus spécifiquement le développement de la chaleur renouvelable, nous pouvons directement parler du fonds chaleur que le gouvernement, à travers le ministère de l'environnement, fait en ce moment. En réalité, afin de garantir la maîtrise et l'optimisation de la production de chaleur et du froid renouvelables, les spécialistes de l'écologie nous orientent vers des solutions correspondant à notre besoin. [...]
[...] Cette sécheresse climatique met dans une situation critique l'aptitude biologique de régénération et entraîne l'affaiblissement de certaines essences. Nous pouvons par exemple constater dans les vallées du Valais, se situant en bas des 1000 mètres qu'à cause de l'intensité accrue de la sécheresse, les arbres qu'on appelle pins ou pins sylvestres ne parviennent plus à effectuer une régénération suffisante d'où leur possible extinction dans les années à venir. Cette constatation est le résultat d'un travail de relevé réalisé entre 1983 et 2003 dans le même endroit cité, en dessous de 1000 mètres. [...]
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