Ce texte comprend 2 extraits du dernier roman de chrétien de Troyes : le conte du Graal, roman resté inachevé à cause de la mort de chrétien en 1190. On peut se demander si la description de l'équipement du chevalier est réaliste aussi, verrons-nous les armes offensives du chevalier puis les armes défensives et enfin la technique de combat
[...] Généralement en toile ou laine teintes de couleurs sombres, elles peuvent être aussi en soie de couleur vive lorsqu'elles sont luxueuses. Pour se protéger au combat le chevalier lace par-dessus cette paire des chausses de mailles d'acier. C'est sur ces chausses de métal que l'on fixe les éperons Ligne 22, Les éperons. Ils sont à molette avec des pointes de 4 cm de long. Cela peut paraître long mais il ne faut pas oublier que le cheval était lui aussi protégé. [...]
[...] Un pan de cuivre couvre la nuque. Le helme est augmenté fin 12ème d'une plaque faciale protégeant ainsi 1 partie du visage, principalement des coups frappés de haut en bas. Il est porté sur une coiffe de maille qui rassemble les cheveux au sommet de la tête (rôle d'amortisseur) lorsque la mode est aux cheveux longs ou toupet. L'écu Ligne 1 12ème siècle Il a la forme d'une grande amande et mesurait 1.5 m de long. Ses dimensions lui permettaient de servir de civière pour transporter 1 chevalier mort ou blessé. [...]
[...] Au début du 12ème siècle, une nouvelle méthode apparaît et qui va faire de la lance une arme typiquement chevaleresque. Désormais, la main ne sert plus qu'à diriger la lance vers l'adversaire à abattre ; La hampe calée sous l'aisselle est maintenue en position horizontale, fixée par la main droite parfois même renforcée par la main gauche qui délaisse le bouclier pour saisir le bois quelque cm avant la droite. La puissance de l'impact ne dépend donc plus de la force du bras mais de la vitesse de l'ensemble, lance, chevalier, cheval. [...]
[...] Les chevaliers donne souvent un nom à son épée, Excalibur, Joyeuse, Durendal pour les plus célèbre, témoignant ainsi de leur attachement à cette arme dont il ne se sépare que rarement. Certaines ont des inscriptions incrustées en argent ou en or ou seulement gravé sur la lame. Ce peut être des formules à caractère religieux servant de talisman. Certaines ont des reliques enfermées dans le pommeau, destinées à porter chance au combattant et à le protéger des mauvais coups. Une arme d'hast : la lance Ligne c'est elle qui distingue à cette époque, les chevaliers des autres combattants. Utilisée comme pique jusqu'au XIème siècle. [...]
[...] Une autre preuve que le jeune homme n'est pas un chevalier apparaît à la ligne 1. On peut en déduire qu'il n'y a pas eût un combat normal entre 2 chevaliers car le chevalier mort n'a pas enlevé son écu et en effet le jeune homme a gagné en lui lançant un javelot. Ce n'a donc pas été un combat chevaleresque. En effet, lors des chevauchées le chevalier porte son écu en bandoulière ou le suspend à son cou au moyen d'une longue courroie, la guiche. [...]
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