Au début de 42, l'économie de guerre des Allemands connaît des difficultés, du fait de l'intensification de la guerre sous-marine et des bombardements aériens: ses réserves d'essence ne dépassent guère un mois de consommation. L'objectif prioritaire est donc le pétrole du Caucase, Stalingrad fait figure de clé du contrôle de la Volga.
[...] A partir du 13 sept 42, des communiqués rendent comptent des combats de rue dans les ruines. L'armée rouge comporte en son sein un corps d'officiers très particuliers: les commissaires politiques, chargés de diffuser la propagande et assurer un contrôle quasi-absolu sur les soldats et gradés. Ils sont militants du partis, ils sont les yeux et les oreilles de Staline sur le front. Ils galvanisent les hommes, répandent la bonne parole, jouent le rôle de police de la pensée. Khrouchtchev chef des commissaires politiques, membre du Politburo. [...]
[...] ( Qu'est-ce qui a pu, dans la bataille de Stalingrad, faire chanceler l'Allemagne ? I. Une bataille de stratèges - directives de Hitler: la guerre-éclair. A priori, pas de problème pour les nazis, qui connaissent leur sujet. Directive du 5 avril 1942 de l'OKW (Etat-major de la Wehrmacht) "Balayer tout le potentiel de défense qui reste aux soviétiques et les couper de leurs principaux centres d'industrie de guerre" La Wehrmacht mobilise sur le front russe toutes ses ressources en hommes aptes au combat, Italie, Roumanie, Hongrie et volontaires Espagnols). [...]
[...] refuse et prépare un ravitaillement aérien pour les combattants de Stalingrad. Mais le pont aérien échoue. A partir du 12 décembre, Von Manstein (plus brillant stratège de la Wehrmacht) tente une contre-offensive: c'est l'opération "Orage d'hiver" (il fait Mais le 24, il échoue définitivement à briser la tenaille soviétique et à donner la main à von Paulus, désormais encerclé sans recours à Stalingrad où la bataille continue à faire rage. Courant janvier, il refuse toujours de capituler. Le 22, il demande une dernière fois à Hitler l'autorisation de capituler: celui-ci se contente de le nommer général. [...]
[...] - les deux grandes phases de la bataille 1. tout se passe à peu près bien pour les Allemands . Jusqu'à la mi-novembre, c'est l'offensive Allemande qui prédomine. L'attaque commence par des bombardements massifs fin août (cité = ruines). Quelques accalmies dans l'attaque, mais mi-octobre, Hitler est tjrs persuadé de triompher: "Nous prendrons la ville de Staline et aucune force du monde ne pourra nous en faire sortir Les 11 et 12 novembre, ville complètement encerclée, du Nord au Sud. [...]
[...] L'effet de la victoire = énorme en Union Soviétique, où il contribua au redressement du moral de la population, et dans toute l'Europe occupée. Pour Staline, c'est une apothéose. L'espoir change de camp. En All, la fin de la 6è armée, saluée par un deuil national, marque la fin de la guerre éclair. Sur le plan stratégique, échec définitif de Barberousse et Reich obligé de se battre sur 2 fronts. ( Contribue à la victoire des Alliés ds la 2GM, tout du moins à leur ascendant psychologique. Plus long terme: Gloire d'autant plus forte pour les soviets que la bataille a été terrible. [...]
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