La grande guerre - publié le 19/03/2013

Thèmes abordés

Grande Guerre, région balkanique, formations politiques, courants idéologiques, attentat à Sarajevo

Résumé du document

Remarques et paradoxe : jamais l'intérêt pour la Grande Guerre n'a été aussi grand en France et dans plusieurs pays du monde que depuis quelques années. Les commémorations auront lieu dans le monde entier, et le 28 juin 2014 aura lieu le centenaire à Sarajevo qui donnera lieu à un sommet européen.
Le mouvement à la réévaluation de la Grande Guerre a eu lieu dès 1998, lors de la publication de Parole de poilu par Radio France qui réunit des lettres de soldats de la Grande Guerre, vendu à 300 000 exemplaires donnant lieu à une réédition.

Extraits

[...] On découvre le caractère terriblement meurtrier des premiers affrontements. La Somme, Verdun, mais les pertes les plus importantes sont les premiers moi de la guerre de tués de l'armée sur les mois aout-décembre 1914 de la durée globale du conflit). En 1916, il y aura tués en Le choc de la guerre se voit dans l'ampleur des pertes, les premières semaines étant déterminantes. Choc entre les schémas de guerre et la réalité. L'adaptation plus ou moins réussie permettra de réduire les pertes au fur et à mesure. [...]

[...] Approche culturelle. Dans tous les cas, quelle que soit la valorisation de la guerre, on pense alors à une guerre courte et localisée. II. L'entrée en guerre:de l'Etat à la société Dans le nouveau monde ouvert par la RF et les Etats Nations, la guerre ne concerne plus les états mais aussi les sociétés. F. FURRET : la PM est la première guerre démocratique de l'Histoire Elle touche universellement les états : opinion, l'industrie, l'armée, les civiles, les diplomates . [...]

[...] Du côté allemand le plan SCHLIEFFEN imaginait les 2/3 des forces allemandes du côtés FR et de négliger le côté russe (considérés comme arriérés et lent). Guerre de 7 à 8 semaines contre la FR pour ensuite se retrouner contre la Russie. Toutes les armées entretiennent una abondante cavalerie, au sabre et à la lance. Cette vision de la guerre pose problème car avant 1914 il y eut des conflits précédents : La guerre des Boers en Afrique du Sud entre britanniques et hollandais. [...]

[...] C'est l'enjeu des élections du printemps 1914, juste avant la guerre, premier tour le 26 avril et deuxième tour le 10 mai avec débat central autour du service. Les socialistes progressent et la roite recules, coalition de gauche modérée qui gagne. Le gouvenement est de gauche modérée, le président du Conseil est alors René VIVIANI, ancien socialiste et premier ministre du travail en 1906. Il dirige un gouvernment dominé par les radicaux. Point important : VIVIANI est un politicien de deuxième rend, le Président du Conseil aurait du être le leader des radicaux J. [...]

[...] Deuxième courant : les socialistes. Très présents en Allemagne, en France les socialistes ont vu leur leader assassiné en juillet (Jean JAURES). La République est attaquée et mise en danger par une menace d'invasion par un Etat autoritaire, peu démocratique, militariste. Comme les socialiste l'on toujours dis, ils feront leur devoir. Jules GUEDE Quand la maison brûle, peu importe à quel étage on habite Deuxième argumentation : on ne fait pas la guerre à l'Allemagne et au peuple mais au militarisme prussien, on fera la paix à une Allemagne démocratique et nécessairement Républicaine. [...]